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    Perte de l'odorat !!

    TROUBLES DE L'ODORAT

    Qu’est-ce que c’est ?

     
    Troubles de l'odorat

     

     

     

    La fréquence des troubles de l'odorat est sous-estimée dans la population. De ce fait, elles ne sont pas souvent bien prises en compte.

    Cependant, un handicap important peut être évité grâce à un diagnostic et un traitement précoces.

    Les troubles de l'odorat sont de diverses origines. Le sens de l'odorat peut être accru (hyperosmie), diminué (hyposmie), perdu (anosmie).

    Il est possible de sentir une odeur désagréable venant de son propre corps (cacosmie), d’avoir une sensation olfactive fausse (parosmie) ou encore d’avoir des hallucinations olfactives ( hallunosmie)

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    Le goût et l'odorat sont intimement liés dans leur fonctionnement et leurs anomalies retentissent l'un sur l'autre.


     
     

    La distinction des odeurs dépend de l'arôme stimulant les récepteurs de l'odorat (chémorécepteurs olfactifs).

    La perte ou la réduction de l'odorat est l'atteinte la plus commune et s'accompagne fréquemment d'un trouble du goût.

    Il y a deux façons d'altérer l'odorat :

    - En empêchant l'odeur d'arriver à la zone sensible du nez, par atteinte transmissionnelle quand les molécules odorantes ne peuvent plus entrer en contact avec les cellules olfactives ;

    - en empêchant l'information nerveuse d'arriver au cerveau afin qu'elle y soit interprétée par atteinte de perception  d’une lésion nerveuse qui peut siéger en divers endroits, des cellules olfactives au centre nerveux olfactif (dans le cerveau) en passant par le nerf olfactif lui-même.

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    Les troubles de l'odorat peuvent être de deux origines : atteinte transmissionnelle et atteinte de perception.

    Par atteinte de la transmission

    Les troubles de l'odorat par ce type d'atteinte sont souvent l’objet d’une anomalie anatomique qui empêche les odeurs de parvenir à la partie sensible du nez. La mauvaise qualité de mucus (qui recouvre les cellules sensorielles) ou bien d'un obstacle placé dans le nez (corps étranger, polypes, tumeurs...) représentent presque la moitié des causes des troubles de l'odorat.

    La polypose naso-sinusienne est certainement la cause la plus typique. Les polyposes nasales, bénignes, atteignent souvent les deux narines avec une atteinte de la muqueuse qui présente des œdèmes bouchant le nez et altérant l’odorat. Même exceptionnelle une mucoviscidose doit être recherchée.

    La rhinite peut être aiguë avec un syndrome grippal et donc transitoire . Elle peut aussi être chronique, allergique avec rhinorrhée, éternuements, congestion nasale et prurit voire conjonctivite ou non allergique

    Les pathologies naso-sinusiennes de type inflammatoire provoquent les rhino-sinusites qui associent, à des degrés variables, l'écoulement du nez à une obstruction nasale bilatérale, des éternuements et des troubles de l'odorat.  

    Les sinusites s’accompagnent d’anosmie dans les formes chroniques touchant tous les sinus. Le diagnostic sera fait à l’aide d’un scanner

     

    Par atteinte de perception

    Les traumatismes, provoqués par un accident ou à la suite d'une intervention chirurgicale, se traduisent par une perte généralement complète de l'odorat, avec un trouble du goût souvent associé.

    Les intoxications médicamenteuses ( médicaments anti-cancéreux , morphine , sels d’or , L dopa ..) et certains polluants industriels

    Les causes tumorales avec des localisation à la base du crane

    Enfin des maladies neurologiques avec en particulier la maladie D’Alzheimer où les troubles de l’odorat pourraient être un facteur précoce de diagnostic mais aussi la maladie de parkinson et l’épilepsie

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    D’abord simplement  l’aide quelques tests permettant de détecter l’anosmie comme  par exemple la distance à laquelle on sent un tampon imbibé d’alcool.

    Il existe ensuite différents appareils permettant d’affiner le diagnostic : olfactométrie, mesure des réflexes, potentiel évoqués olfactifs …

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    C’est l'intérieur du nez qui sera d’abord exploré :  rhinoscopie, radiographies simples, scanner ou IRM pour explorer le nez et les organes proches. La découverte d’une cause locale, accessible à un traitement efficace sera sûrement un gage sérieux de guérison

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    Le traitement des troubles de l'odorat est souvent difficile lorsque l'origine se situe au niveau cérébral. Néanmoins, il se révèle très souvent efficace lorsque la muqueuse du nez est en jeu et qu'elle est correctement soignée.

    Les allergies bénéficient de traitement efficaces et l’éviction de l’allergène doit être systématique.

    La polypose naso-sinusienne peut être améliorée par la cortisone, la chirurgie n'étant pratiquée qu'après échec de plusieurs traitements médicaux bien conduits.

    La rhinite non allergique est améliorée par la cortisone inhalée.

    Les infections d’origine bactérienne sont traitées efficacement par des antibiotiques. En cas de récidive, les formes chroniques pourront être sensibles aux cures thermales.

     

    5 à 7 % des traumatismes crâniens ont des conséquences sur l'odorat, la récupération est rare, longue et incomplète.

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    Oto-rhino-laryngologie (ORL)

    Cette spécialité est consacrée à la physiologie et au traitement médical ou chirurgical des maladies des oreilles, du nez et de la gorge (larynx et pharynx). Aujourd’hui, le développement des techniques d'exploration endoscopique et d'exploration électro-physiologique reposant sur une certaine unité des connaissances anatomo-physiologiques a amené tout naturellement les ORL à étendre leur domaine d'activité à la chirurgie cervicale et à la chirurgie plastique faciale.

     

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    L’homéopathie contre le rhume des foins

    Par Marie-Christine Colinon le 11 mars 2014
     
    L’homéopathie contre le rhume des foins
    La rhinite pollinique (ou rhume des foins) affecte plus de 10% de la population française. L'homéopathique s'avère efficace pour soigner cette allergie.
     

    Objectif. Supprimer les symptômes et progressivement nous rendre moins allergiques.

     

    Les symptômes. Éternuements en salves, nez bouché, yeux qui pleurent, palais qui démange…

     

    La solution. Des granules homéopathiques contre les crises. Les remèdes à doses infinitésimales soulagent en déclenchant une réaction de défense de l’organisme.

     

    - Rhinallergy (environ 5€) est une préparation qui réunit Allium cepa, Ambrosia, Euphrasia officinalis et Histaminum, les remèdes le plus souvent prescrits dans l’hypersensibilité aux pollens

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    L’association de Pollens 15 CH, Apis mellifica 9 CH et Poumon Histamine15 CH. Laisser fondre 5 granules de chaque sous la langue matin et soir.

     

    - Des remèdes ciblés peuvent être ajoutés (en 9 CH), tel Allium cepa en cas d’écoulement nasal irritant, Nux vomica si le nez est bouché la nuit avec éternuement au réveil, ou Euphrasia en cas de conjonctivite. Plus fidèle à l’esprit de l’homéopathie, cette option "personnalisée" nécessite une consultation, ou l’aide d’un guide ou d’un site www.boiron.fr, www.cedh.org.

     

    - En prévention, pour traiter le "terrain" et réduire la force et la fréquence des crises, un traitement de fond, conduit par un médecin homéopathe, pourra être entrepris dès la fin de l’hiver. Son succès implique de tenir compte du patient et de son histoire médicale. Avec souvent le plaisir de ranger définitivement ses mouchoirs!

     

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    Infarctus : les femmes plus sujettes à en mourir du fait d'un mauvais diagnostic !

     

    Infarctus : les femmes plus sujettes à en mourir du fait d'un mauvais diagnostic !

    D'après une étude canadienne, les femmes auraient davantage de risques de mourir d'un infarctus du myocarde que les hommes. La faute aux diagnostics de crises d'angoisse posés par les médecins. Explications.

     

     

     

    Si l'on regarde les chiffres de mortalité des hommes et des femmes décédant d'infarctus du myocarde, on s'aperçoit qu'il existe une différence conséquente au profit des hommes. Ceux-ci sont moins nombreux à en décéder. Ces chiffres ont particulièrement intéressé des chercheurs de l'université McGill de Montréal (Canada).

    Ils ont alors décidé d'interroger 1 123 patients âgés de 18 à 55 ans hospitalisés au Canada, aux Etats-Unis et en Suisse grâce à un questionnaire dans les 24 heures suivant leur admission pour un syndrome coronarien aigu.

    Les scientifiques ont noté que les femmes ayant participé à l'étude avaient des revenus plus modestes, qu'elles présentaient des risques de diabéte et / ou d'hypertension artérielle, qu'elles étaient sujettes à la dépression et à l'anxiété et qu'enfin, des cas de maladies cardiaques étaient présents dans leurs familles.

    D'après les résultats publiées dans le Journal de l'Association médicale canadienne, il semblerait que les hommes se voyaient pratiquer plus rapidement des électrocardiogrammes et des défibrillations que les femmes. L'explication avancée par les chercheurs pour expliquer cette différence de traitement est que, bien souvent, les patients arrivant aux urgences pour des douleurs thoraciques dont l'origine n'est pas cardiaque sont des femmes. 

    Le Docteur Louise Pilote, auteure principale de l'étude, complète cette justification : " la prévalence du syndrome coronarien aigu est plus faible chez les jeunes femmes que chez les jeunes hommes." D'ailleurs, " ces résultats suggèrent que le personnel affecté au triage est plus porté à écarter l'origine cardiaque du malaise chez les femmes qui présentent des symptômes d'anxiété. " 

    En somme, si les femmes décèdent d'un infarctus du myocarde plus souvent que les hommes, c'est parce que leur malaise est davantage associé à une crise d'angoisse

     

    Vidéo : Mieux prévenir les infarctus

     

     

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  • Cataracte : mieux la comprendre pour bien la soigner !

    Cataracte : mieux la comprendre pour bien la soigner !
     

    Avec l'âge, la baisse de vision, la gêne à la lumière, l'éblouissement, ... peuvent apparaître. Or, il s'agit de certains symptômes de la cataracte. Il faut donc réagir dès leurs prémices et consulter votre ophtalmologiste pour traiter cet état et retrouver votre vue d'antan.

     

     

     

    Qu’est-ce que la cataracte? 


    La cataracte correspond à une altération acquise optique et/ou anatomique du cristallin. Elle s’associe souvent à une modification de la couleur du cristallin. Cette modification de la transparence provoque des troubles visuels. Le diagnostic de cataracte est celui qui conduit le plus fréquemment les patients au bloc opératoire.

     

    Qu’est-ce que le cristallin ? 


    Le cristallin est une lentille biconvexe composé d’un gel transparent constitué essentiellement de protéines, entourée d’une fine membrane : la capsule. Il n’est ni innervé ni vascularisé. Les nutriments proviennent de l’humeur aqueuse et du corps vitré. Il est situé derrière l’iris (la partie colorée de l’œil) et devant le vitré.Il mesure 10 mm de diamètre et son épaisseur, en moyenne de 4,5 mm, augmente de 0,26 mm par décennie. Sa face postérieure est de convexité plus accentuée que sa face antérieure. Ses 2 faces sont séparées par l’équateur sur lequel s’insèrent des fibres élastiques qui le suspendent aux procès ciliaires : la zonule. Le cristallin a un pouvoir convergent d’environ 20 D et participe avec la cornée à focaliser les images sur la rétine. Il joue un rôle essentiel dans l’accommodation.

     

    Quel est le processus physiopathologique de la cataracte?

    La transparence du cristallin dépend essentiellement de l’arrangement régulier des fibres de collagène. Deux processus vont être à l’origine de l’opacification :

    • Diminution ou accumulation d’eau à l’intérieur des fibres cristalliniennes ou entre celles-ci.
    • Diminution du métabolisme cristallinien et en particulier de la production d’énergie disponible, responsable d’une altération des protéines cristalliniennes qui perdent leur solubilité, précipitent et forment des opacités.

     

    Quelles sont les causes possibles de la cataracte ?

    La cataracte peut avoir plusieurs causes mais la cause essentielle est le vieillissement physiologique  lié à l’âge (cataracte dite sénile). Elle est bilatérale mais peut être asymétrique.

    La cataracte traumatique après une contusion ou une plaie du globe peut survenir avec un délai plus ou moins long, de quelques jours à plusieurs années. Elle est la cause la plus fréquente de cataracte de l’enfant. Elle est alors le plus souvent unilatérale.

    Elle peut également survenir dans le cadre de pathologies générales, par exemple le diabète ; après un traitement au long cours (corticoïdes, tranquillisants...) ou une exposition prolongée au soleil ; après radiothérapie (cataracte post-radique). L’alcool et le tabac sont également des facteurs de risque tout comme la mélanodermie et l’hérédité.

    Il existe également des cataractes congénitales qui imposent un traitement rapide pour éviter tout risque d’amblyopie. 


    La myopie forte et certaines pathologies ophtalmologiques, comme les uvéites (inflammation intraoculaires) ou le glaucome, peuvent accélérer ou favoriser l’apparition d’une cataracte. 


     

    A partir de quand parle-t-on de cataracte (quel degré d’opacification, quels problèmes de vision ...) ? Combien de personnes en sont touchées ?

    Le diagnostic de cataracte est posé lorsque la vision ou le confort du patient est perturbé dans sa vie courante. La symptomatologie fonctionnelle ne se résume pas uniquement à une baisse de vision. L’éblouissement, la gêne à la lumière, la sensation de vision double, la modification de la perception des couleurs et la myopisation sont des symptômes très fréquents qui peuvent perturber la vie quotidienne des patients. 


    600 000 patients sont opérés de la cataracte par an en France, mais il est impossible de savoir combien de personnes sont porteuses d’une cataracte car les signes sont très discrets au début (éblouissement, diplopie monoculaire, trouble visuel) et on ne peut se fier à l’acuité visuelle évaluée par l’ophtalmologiste dans des conditions d’examen qui sont très différentes de celles de la vie courante. Selon l’âge, la profession, la gêne quotidienne, le diagnostic interviendra dans des conditions très différentes. 


     

    Comment dépiste-t-on la cataracte ? 


    Dans un premier temps par l’interrogatoire du patient à la recherche des signes fonctionnels. Puis par un examen ophtalmologique complet débutant par la mesure de l’acuité visuelle de loin et de près. L’examen au bio-microscope du cristallin est le temps essentiel qui permet de confirmer le diagnostic en constatant la modification de la couleur et/ou de la densité du cristallin, de déterminer le stade de la cataracte et d’en préciser la forme clinique selon la répartition anatomique des opacités. 
 


    L’analyse des autres paramètres (cornée, iris, pression oculaire, rétine, nerf optique) doit compléter ce bilan. Des examens complémentaires permettent, si besoin, de mesurer la densité du cristallin de manière objective, reproductible et précise : le chef de file étant l’Optical Quality Analysing System (OQAS) qui permet d’obtenir un indice appelé Objective Scattering Index qui quantifie objectivement la diffusion lumineuse intra-oculaire. Un score supérieur à 1 traduit l’existence d’une diffusion lumineuse augmentée. Cet indice permet de classer les stades de la cataracte en mesurant le degré d’opalescence du cristallin.

     

    Comment évolue la cataracte ? 


    L’évolution de la cataracte ne se fait jamais vers la régression des opacités. La cataracte évolue par stades, progressivement, sur une durée imprévisible vers l’opacification totale du cristallin. Si la cataracte n’est pas opérée, le cristallin subit alors des modifications pouvant entrainer des complications oculaires (hypertonie, inflammation). 


     

    Comment la traite-t-on ?

    Le seul traitement est chirurgical. Il consiste à retirer le cristallin et à le remplacer par une lentille dont la puissance sera calculée précisément pour compenser la puissance du cristallin. Il est également possible à cette occasion de corriger un éventuel défaut de vision associé : myopie, hypermétropie, astigmatisme (implant torique) et même presbytie avec les implants multifocaux qui peuvent aussi être toriques. 


    L’intervention se fait le plus souvent sous anesthésie locale et en chirurgie ambulatoire. La technique de base est la phacoémulsification, c’est-à-dire la fragmentation par des ultrasons, parfois aidée par un laser. 


     

    Quels sont les résultats ?

    La chirurgie est parfaitement codifiée et les résultats excellents puisque la récupération de la vision survient dans 98% des cas. Les 2% de patients ayant un mauvais résultat sont les patients ayant une autre pathologie associée en particulier DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age), rétinopathie diabétique, glaucome évolué.... 


    Les complications de l’intervention sont exceptionnelles : 


    • Les infections sont rarissimes depuis l’utilisation d’une injection d’antibiotiques en fin d’intervention.
    • Le décollement de rétine (moins de 1% en moyenne) est plus fréquent chez les forts myopes et en cas de rupture de la capsule postérieure pendant l’intervention.
    • L’œdème maculaire est le plus souvent temporaire. 


     

    Quel est le futur pour cette chirurgie ? 


    Le laser femtoseconde permet d’augmenter la précision dans la taille et l’architecture des incisions, de faire un capsulorhexis précis dans son diamètre et son centrage, de broyer le noyau pour en faciliter l’extraction. Sa rapidité et ses performances vont augmenter. Les incisions sont de plus en plus étroites. La qualité optique de nos lentilles ne cesse de s’améliorer pour que la chirurgie de la cataracte soit totalement réfractive, c’est-à-dire permette au patient un affranchissement post-opératoire à une correction optique. 


     

    A retenir :

    Les cataractes du sujet âgé sont très fréquentes :

    • 50% de la population de plus de 60 ans présentent des opacités cristalliniennes.
    • 20% des sujets de plus de 70 ans sont candidats à l’opération et 50% à partir de 75 ans.  

    1ère intervention pratiquée en France et dans les autres pays développés, cette opération parfaitement codifiée permet de récupérer dans l’immense majorité des cas une excellente fonction visuelle. 

     

    Docteur Catherine Albou-Ganem, membre du Conseil d'Administration de la Société Française d'Ophtalmologie (SFO), Présidente de 2011 à 2013 et membre du Conseil de Surveillance de la Société de l'Association Française des Implants et de la Chirurgie Réfractive (SAFIR), Chirurgien ophtalmologiste à Paris.

     

     

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    Elle aura mis au monde quatre bébés... en un an !

    Famili - Vendredi 17 janvier, 11h05
     
    Ventre femme enceinte (Thinkstock)

    Elle aura mis au monde quatre bébés... en un an !

    Mettre au monde 4 bébés en un an, c’est impossible ? Et bien non. Sarah Ward, une jeune britannique de 28 ans, en est la preuve. La jeune femme a appris qu’elle était enceinte de triplés alors qu’elle venait juste d’accoucher, lit-on dans le Daily Mail.

    Sarah avait eu du mal à tomber enceinte. Après deux années d’essais avec son compagnon, Benn, bonne nouvelle ! Elle a attend enfin un heureux événement. Le petit Freddie pointe le bout de son nez le 1er juin 2013.
    Après la naissance, les jeunes parents ne se protègent pas lors de leurs rapports sexuels, pensant qu’il était improbable que Sarah tombe enceinte pour le moment, tant le premier bébé avait mis du temps à arriver....


    Mais voilà, Sarah a du retard, ses règles n'arrivent pas. Elle fait un test de grossesse qui s’avère être… positif ! Freddie a alors à peine 8 semaines. Les parents sont un peu sous le choc, mais très heureux, puisqu'ils avaient tout de même dans l’idée de remettre le couvert, même s’ils pensaient prendre leur temps.

    Mais Sarah et Benn ne sont pas au bout de leur surprise ! Lors d’une échographie, ils apprennent qu’ils vont se retrouver à la tête d’une famille de quatre enfants de moins d'un an, car Sarah est enceinte de triplés ! Les amoureux restent bouche bée. Choqués, mais heureux. "Considérant que je pensais à un moment ne jamais pouvoir être maman, avoir quatre bébés est comme un miracle confie la jeune maman. Nous serons ric-rac niveau espace et argent avec quatre bébés de moins d'un an, mais nous ne serons pas ric-rac niveau amour" .

    La jeune femme devrait accoucher par césarienne en mars, les triplés risquant fort de naître prématurément. Il s'agira de deux garçons et d'une fille, et les prénoms sont déjà choisis : Reggie et Stanley pour ces messieurs, et Charley pour la demoiselle. Le petit Freddie aura alors 9 mois, lorsque ses frères et sa soeur pointeront le bout de leur petit nez !

    Nous souhaitons au jeune couple beaucoup de bonheur (et beaucoup, beaucoup d’énergie !).

     

     

     

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